5. Tâches immédiates

Perspective urbaine : notre travail dans les zones urbaines

Parti Communiste d’Inde (maoïste)

5. Tâches immédiates

   Après avoir formulé la politique et les directives pour le travail urbain, et après avoir fait le point sur notre passé, le POR du 9e Congrès prie le Parti de déclencher une campagne pour réorganiser le travail selon les nouvelles directives.  Mettre en œuvre systématiquement et complètement cet appel à la campagne du POR doit par conséquent être l’objectif principal de nos tâches immédiates.  Selon la réalité objective et la situation subjective dans nos zones respectives, et en nous basant sur notre Politique et nos Directives, nous devons établir un programme point par point judicieux, par domaine, pour élever le Parti, évaluer notre travail, identifier les domaines à changer, formuler des projets et des perspectives concrets et suivre leur réalisation de manière approfondie.

5.1. Mettre en place une spécialisation urbaine et sur la classe ouvrière dans les comités supérieurs

   Les comités les plus hauts doivent être le point de départ.  Dans les CC, BP et BR et dans ces CS où il y a la possibilité d’un travail urbain considérable, il doit y avoir une affectation de membres pour qu’ils se spécialisent dans le travail urbain.  Lorsque le volume et la nature du travail l’exige, des sous-comités doivent être constitués.

   Leurs tâches seront de mettre en œuvre complètement la politique et les directives urbaines; d’étudier attentivement et de résoudre les problèmes sur le terrain; d’étudier l’ennemi, de prévoir ses mouvements et de pré-planifier en conséquence; d’élaborer une théorie fondée sur les expériences du terrain, et par conséquent, de centraliser l’abondance de nouvelles idées émergeant constamment du terrain afin qu’elles puissent rapidement être appliquées à tous les endroits.  A ce stade, les mêmes camarades devront également se concentrer sur les tâches du domaine de la classe ouvrière.

   Cela signifie coordonner le travail sur la classe ouvrière dans les différents centres, guider les organisations et les fronts de la classe ouvrière, préparer les programmes et les matières pour l’éducation et la formation politique des cadres dans le travail sur la classe ouvrière, étudier les tendances en voie de développement dans le mouvement de la classe ouvrière et planifier en conséquence, et répondre par des décisions rapides au niveau politique et tactique aux nombreuses manifestations spontanées se produisant au milieu de la recrudescence actuelle des luttes de la classe ouvrière.

5.2. Formuler une perspective et des projets au niveau de toute l’Inde et de l’état

   Les comités supérieurs (et particulièrement les camarades alloués à se spécialiser) doivent formuler et choisir une perspective pour les zones et les industries urbaines à leurs niveaux respectifs.  Décider d’une perspective donne la priorité et la voie grâce auxquelles planifier concrètement.  Cela garanti que l’affectation des forces subjectives n’avance pas spontanément mais selon un plan.

   En étudiant le processus urbain à la lumière de notre politique et de notre stratégie, et sur base d’une analyse de la ville et d’une analyse industrielle, il faut décider des villes et des industries sur lesquelles se concentrer.  Une simple analyse de classe des zones de travail existantes et des villes potentielles doit également être menée.  Cela servira à déterminer la priorité et à prendre des décisions concrètes.

   La répartition réelle se fera naturellement sur la base des forces subjectives disponibles et des projets globaux du comité responsable.  Cependant, nous devons, en affectant les forces pour le travail urbain, être prudents et n’assigner que des camarades qui auront une bonne chance de s’adapter au travail urbain et de le poursuivre pour un certain temps.  Contrairement aux zones rurales dans lesquelles la retraite d’un camarade n’amène pas forcément beaucoup de dénonciation, la retraite d’un camarade urbain pour conduire à de considérables problèmes pour une organisation urbaine.

5.3. Réorienter et réorganiser les organisations urbaines avec une démarche stratégique à long terme

   Un grand nombre de nos zones de travail urbain ne travaillent pas conformément à une approche stratégique à long terme.  Beaucoup de zones ont du fermer définitivement en raison de la dénonciation et des pertes.  De nombreuses zones ont essayé d’introduire une approche stratégique grâce à une méthode par tâtonnements provenant des expériences quotidiennes de terrain de confrontation à l’ennemi.  Elles ont fait des progrès considérables mais des insuffisances demeurent.  Par conséquent, aujourd’hui, différentes zones suivent des pratiques différentes fondées non seulement sur les différents niveaux de répression auxquels elles sont confrontées mais également sur des facteurs subjectifs tels que l’approche du leadership de la zone et de l’état ou les modèles et les styles de travail différents hérités du passé.  Cela a continué en raison du manque d’intérêt pour le travail urbain en général, et en particulier en raison de l’absence d’un assortiment commun de politique et de directives partout dans le Parti.  Ayant maintenant adopté une politique et des directives communes, nous devons travailler à réorienter et à réorganiser le travail urbain dans le Parti avec une approche stratégique à long terme.

   Cette tâche doit être prise en main comme une campagne étroitement guidée et suivie par les comités d’état.  Cela doit être un processus point par point impliquant l’éducation de tous les cadres urbains conformément à la politique urbaine, en insistant particulièrement sur les divers aspects de l’approche stratégique à long terme; en évaluant le fonctionnement et la structure de l’organisation urbaine à tous les niveaux – tant de l’organisation du Parti que des masses – et en prenant des décisions pour corriger ou améliorer les pratiques existantes; en fixant les objectifs pour exécuter les changements choisis et en faisant le suivi afin qu’ils soient mis en œuvre selon le plan; et si nécessaire, par la réaffectation des forces selon l’évaluation précitée et aussi selon la perspective de projets établie par les comités supérieurs.

   L’élément essentiel pour la mise en œuvre efficace d’une telle campagne est la participation la plus étroite possible des comités supérieurs.  Des questions, des doutes, et des problèmes pratiques vont sûrement apparaître au cours de la mise en œuvre.  Les résoudre exige la participation des membres du comité supérieur qui peuvent fournir des réponses et imaginer des façons de résoudre n’importe quel problème potentiel.  Ce que nous devons viser à faire est de nous assurer que chaque membre du Parti et que chaque militant opérant dans la ville comprenne profondément l’approche stratégique à long terme, ait une pleine croyance et une pleine confiance dans cette conception, l’exécute dans la pratique quotidienne et tente de la développer à de nouveaux niveaux.

5.4. Mobiliser largement les masses urbaines, particulièrement la classe ouvrière

   En ce qui concerne la mobilisation de masse, nous devons d’abord corriger la méprise selon laquelle l’approche stratégique à long terme de la sauvegarde de nos forces signifie de restreindre notre organisation de masse aux seules étroites organisations de masse clandestines.  Tous les camarades doivent comprendre que la préservation et les protections de nos forces n’est possible que dans le giron des larges masses.  C’est pour cette raison que nous devons avoir recours à l’ organisation de masse légale la plus large possible en gardant le bon équilibre entre les forces légales et illégales d’organisation et de lutte.  Cette voie à l’égard de la mobilisation large des masses doit être une des composantes capitales de la campagne pour réorienter et réorganiser le Parti.

   Nous devons mobiliser grâce au travail fractionnaire dans différents genres d’organisations existantes et par l’intermédiaire de différentes organisations de couverture et constamment concevoir de nouveaux moyens inventifs pour aller parmi les masses sans être dénoncés.  Nous ne devons pas nous inquiéter excessivement du fait que nos luttes et nos slogans ne soient pas assez rouges et révolutionnaires.  A condition que nous soyons parmi les masses et que nous les attirions dans la lutte, nous serons en mesure de les politiser et de les attirer dans la ligne révolutionnaire et dans le Parti.

   Lorsque c’est nécessaire, et où il est possible de mobiliser sur une grande échelle, nous devons également constituer ou prendre part à des organisations démocratiques légales.  Ainsi, nous pouvons faire sortir les masses en grand nombre avec un programme démocratique.  Nous ne devons toutefois pas faire une telle mobilisation où il est probable que les quantités soient peu nombreuses ou que nos forces aient de fortes chances d’être démasquées.

   L’objectif principal de la mobilisation et de l’organisation des masses dans les villes doit être la classe ouvrière.  Nous devons prêter une attention particulière aux syndicats et aux autres organisations de la classe ouvrière.  Nous devons également nous organiser dans les ‘bastis’, où la classe ouvrière réside avec d’autres sections de citadins pauvres.  Après la classe ouvrière et les citadins pauvres, nous devons faire attention aux organisations d’étudiants et d’autres sections de la petite bourgeoisie.

5.5. Recruter et développer la direction du Parti à partir de la classe ouvrière

   Nous devons avoir une forte tendance prolétarienne dans notre processus de construction du Parti.  A cet égard, nous devons prêter une attention particulière à la résolution du 9ème Congrès.  Nous devons dons nous concentrer à construire le Parti dans les usines et d’autres centres où la classe ouvrière travaille.  Même à l’intérieur des organisations de femmes, de jeunes et d’étudiants, nous devons prêter une attention particulière au recrutement dans les milieux prolétariens.  Nous devons porter une attention particulière à l’éducation des prolétaires pour les faire entrer rapidement dans le Parti en plus grand nombre.  Après le recrutement, nous devons avoir des règles et des programmes pour former et développer le leadership parmi eux.

5.6. Réorganiser le mécanisme technique dans les villes

   A l’exception des villes à l’intérieur et limitrophes aux zones de guérilla confrontées à une lourde répression, le mécanisme technique est très flottant et primitif dans la majeure partie des villes.  Nous développons principalement nos méthodes techniques comme une procédure pour réagir à la menace immédiate de l’ennemi, plutôt que comme un projet basé sur une approche stratégique à long terme.  Cette approche spontanée est très dangereuse et doit être radicalement changée.

   Par conséquent, nous devons réviser complètement notre mécanisme technique et nos méthodes de coordination du travail public et clandestin.  Pour cela, un processus progressif au coup par coup ne fonctionnera pas.  Un tel processus demeure tout au plus partiel et ne provoque pas le changement requis.  En outre, l’ennemi avance rapidement pour établir son réseau dans les villes partout dans le pays.

   Nous devons donc modifier radicalement nos hypothèses fondamentales en ce qui concerne les exigences techniques.  Nous devons comprendre que nous ne pouvons pas planifier sur la base des actions immédiates et des apparences de l’ennemi.  L’état planifie sur une base à long terme et pour toute l’Inde.  Notre planification doit aussi se faire sur une base à long terme et ne peut pas faire beaucoup de différence entre les villes de répression et de ‘non-répression’.

   Les normes fondamentales pour fonctionner sous des couvertures naturelles, pour fonctionner rigoureusement par l’intermédiaire de couches, les méthodes d’organisation de couverture et les techniques de communication doivent être mises en œuvre dans tout notre travail urbain.  Cela ne doit toutefois qu’être le premier pas.  Nous devons nous rappeler que notre ennemi étudie et développe continuellement de nouvelles méthodes contre nous.  C’est pour cette raison que notre méthode et notre approche doivent aussi être dynamiques et novatrices.  Ainsi, au cours de l’exécution de nos directives, chacun d’entre nous doit en outre apporter des adjonctions, des adaptations et des évolutions à ces directives.  Notre mécanisme technique, reposant sur certains concepts et principes fondamentaux, doit toujours avancer et s’améliorer et par conséquent, toujours se révéler être un pas devant la police politique.

5.7. Préparer les organes d’autodéfense du mouvement urbain

   A cet égard, nous sommes relativement peu avancés.  Bien que toutes les organisations de la ville constituent des équipes pour accomplir des actions précises, il n’y a eu presque aucun progrès et très peu de pratique dans la construction de formation d’auto-défense plus stables.  Cela est vrai pour les équipes publiques aussi bien que pour les escouades d’auto-défense clandestines. Nous devons fixer des objectifs et maintenant, ne plus retarder cette tâche plus longtemps.  Là où des préparatifs sont nécessaires, nous devons faire les préparations requises et constituer les équipes.  Pour les équipes publiques, une simple base politico-organisationnelle et un code de conduite doivent être établis.  Il doit également y avoir une pleine clarté parmi les camarades concernés à propos de la ligne de commandement.  Les camarades de grade supérieur doivent prendre la responsabilité de s’assurer de l’achèvement victorieux de cette tâche.

5.8. Prendre en main le travail dans les industries clé

   Notre présence dans les industries clé est aujourd’hui extrêmement faible.  Avec la progression de la guerre populaire, le besoin est urgent que nous pénétrions dans les industries clé et que nous y mettions en place une base solide.  Tous les comités supérieurs ne doivent donc pas oublier cela pendant qu’ils établissent les plans.  Nous devons faire des projets pour les industries clé en nous basant sur l’importance de l’industrie, les ouvertures disponibles pour l’entrée et les forces subjectives dont nous disposons pour un tel type de travail.

5.9. Infiltrer les organisations ennemies

   Ceci est aussi encore une zone dans laquelle nous sommes pratiquement inexistants, et où nous devons débuter.  Nous devons par conséquent dresser les plans pour cela à différents niveaux. Nous devons mettre à profit les opportunités pour pénétrer dans la police, les forces paramilitaires et militaires.  Très secrètement, nous devons suivre les contacts de ceux qui sont déjà à l’intérieur de ces forces.  Lorsque c’est possible, nous devons y entrer depuis l’extérieur.  Un tel travail doit être directement guidé par les comités supérieurs sans en informer les organes locaux.

   Nous devons régulièrement diriger la propagande en ce qui concerne les problèmes des agents de police et des soldats ordinaires.  Nous devons reprendre les questions brûlantes qui les inquiètent et les pousser à l’agitation.

   Nous devons également faire une étude des villes de cantonnement, des zones d’usine d’artillerie, etc. dans le but de formuler un plan de travail pour de telles zones.  Nous devons également essayer de rassembler et de produire le type de forces qui seront capables de faire un travail de ce genre.

5.10. Construire le front uni dans les zones urbaines

   Notre travail urbain en front uni exige d’une part, la construction et la consolidation de l’alliance ouvrier-paysan, et d’autre part, la création de l’unité entre la classe ouvrière et les autres sections et classes urbaines.

   Comme mentionné précédemment, l’alliance ouvrier-paysan n’est pas seulement la tâche de ces villes limitrophes aux zones de guérilla et aux autres zones de lutte rurale.  Les villes métropolitaines et industrielles relativement dissociées de la campagne doivent particulièrement se concentrer de diverses manières pour faire progresser l’alliance ouvrier-paysan.  La propagande, les luttes de solidarité, la participation des ouvriers dans les agitations paysannes, l’aide directe aux luttes rurales sont quelques uns des programmes qui doivent être entrepris.  Dans le même temps, sur base de la situation concrète, d’autres manières nouvelles et plus inventives doivent être développées pour renforcer l’unité des deux classes révolutionnaires élémentaires.

   Le front uni avec d’autres classes se fera principalement grâce aux organisations en front commun axées sur un problème ou basées sur un programme.  Bien qu’elles puissent être légales pour un bout de temps selon la largeur du front, nous devons être prêts à faire aussi fonctionner les organisations en front uni depuis la clandestinité, comme le NDF aux Philippines, lorsqu’elles sont confrontées à l’autorité fasciste et brutale.  Pendant que nous participons largement dans celles-ci, nous devons corriger nos erreurs sectaires dans la construction de tels fronts communs et de nos opérations bureaucratiques en leur sein.  Les comités supérieurs doivent constamment guider et planifier pour faire progresser et élargir notre travail en front uni.

   Comme indiqué tout au long de ce chapitre, les politiques de libéralisation, de mondialisation et de privatisation ont eu un grand impact sur les zones urbaines.  Presque toutes les sections laborieuses dans les villes ont été gravement frappées par ces politiques.  Cela a maintes et maintes fois abouti à des explosions spontanées de différentes sections sur diverses questions partielles sans direction claire.  Maintenant cependant, les luttes sont devenues plus organisées et dirigées contre les politiques elles-mêmes, la classe ouvrière se manifestant dans le rôle de premier plan.  Depuis le début des années 2000, de nombreuses luttes majeures de la classe ouvrière ont éclaté, et continuent à se propager et à s’accroître sans relâche.  Ces luttes se répandent non seulement dans tous les coins du pays, mais elles marchent aussi en mesure avec les luttes anti-capitalistes se déroulant dans différentes parties du globe.  Même le souffle réactionnaire après les avances militaires de l’impérialisme en Afghanistan, n’a pas été capable de repousser les luttes en pleine croissance.

   Ces luttes de la classe ouvrière ont été rejointes par les luttes des employés, des professeurs, etc.  Elles inspirent également les citadins pauvres dans les bidonvilles et des luttes du semi-prolétariat avec les luttes anti-démolition et anti-expulsion prenant de nouveau un caractère militant.  Même les petits capitalistes de la bourgeoisie nationale descendent dans les rues de façon militante contre l’industrie instable, les nouvelles taxes, les taux élevés de l’électricité, etc.  Les racines de la plus grande partie de ces luttes résultent des politiques impérialistes de mondialisation, de libéralisation et de privatisation et se concentrent par conséquent de plus en plus directement contre ces politiques.  Ainsi, une situation favorable existe dans les zones urbaines pour la construction de larges fronts contre l’impérialisme et il est probable que cette situation continue encore un bon bout de temps. C’est une question hautement théorique. Il n’est pas possible de tout illustrer maintenant.  C’est une des stratégies du MLMisme de la guerre populaire prolongée: la campagne encerclant la ville, la formation de zone de base et prise du pouvoir central. Cette procédure et cette stratégie appliquée et développée par le Président Mao dans un pays semi-féodal et semi-colonial au siècle dernier ont été un succès. Ce n’était pas seulement essentiel, mais également obligatoire d’appliquer ce principe dans un pays comme le nôtre. Savoir comment appliquer et développer le marxisme-léninisme-maoïsme dans le contexte du Népal, un pays du 21e siècle également semi-féodal et semi-colonial était la question principale. Pour sa réalisation, la Convention d’Unité Nationale a lutté contre les différents types de déviations non-marxistes et les a rejetées, et a identifié et appliqué le marxisme dans son sens véritable.  La question de l’application du marxisme-léninisme-maoïsme ne peut avoir de réponse facile et simple.

   Comprendre la science est une chose, l’appliquer en est une assez différente. La procédure continue à changer de temps à autre alors que l’on applique la science. Les modifications de ces procédures pour les applications de la science se font en vertu des objectifs: comment appliquer le marxisme-léninisme-maoïsme dans son sens vrai, comment faire face aux défis en tous genres, comment habiliter le prolétariat pour l’autorité nationale. Il n’y a pas de chemin coupé au fer pour que la classe prolétarienne fasse sa voie vers l’autorité du pays. L’ennemi a placé l’embuscade sur la route pavée ; le mouvement clairement révolutionnaire et sa direction s’est dissout alors qu’il négligeait l’embuscade, une insulte dans le succès de la bourgeoisie. Tirant les leçons d’une telle erreur, c’est la science qui doit servir le mouvement à gauche ou à droite, le faire aller vers le haut ou vers le bas, permettre le changement dans la procédure selon la façon dont elle est vue par la vision à long terme enthousiaste de la direction.

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